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  • MONSIEUR BONI YAYI N'A AUCUNE VISION POUR LE BENIN-2

    Le 6 Avril 2006, le jour où Monsieur Boni Yayi prêtait serment en tant que nouveau Président de la République, le peuple Béninois nourrissait d’immenses espoirs de voir s’améliorer ses conditions de vie. Les populations pensaient qu’enfin allait se lever pour elles une véritable Aube Nouvelle. Pendant la campagne électorale, aucun des 26 candidats aux élections présidentielles de 2006 ne nous a donné d’échéancier pour le suivre dans la gestion des affaires publiques. Aucun des 26 candidats ne nous a donné un outil pour l’évaluation de son action gouvernementale. Cela est dû à la propension de nos dirigeants à la tricherie, des dirigeants qui, d’une façon générale, ne veulent pas qu’on évalue leur action. Qu’importe, les élections ont eu lieu. Le Président élu a formé son premier gouvernement aux premières heures de ce samedi 8 avril 2006 vers 02 heures. Ce fut le point final de la grande chevauchée qui a commencé depuis l’année 2001 lorsque Kérékou a entamé son deuxième mandat. Deux ans après ces journées historiques où le peuple surpris mais pas vaincu est allé voter massivement pour se débarrasser d’un pouvoir corrompu, laxiste, éhonté, rétrograde et anti-national, quelle est l’image que notre pays renvoie au plus grand nombre des Béninois ? Depuis ce 08 Avril 2006, nous avons assisté à sept changements de gouvernements les uns plus ou moins importants que les autres. Ces différents changements ont affecté plus ou moins profondément certains secteurs. Prenons le secteur de l’éducation. Au cours des différents remaniements que le pays a connu en deux ans avec une moyenne d’un remaniement tous les trois mois, les ministères en charge de l’Education ont été quatre fois remaniés. A son arrivée au pouvoir Monsieur Boni Yayi a trouvé deux ministères en charge de l’Education avec des dénominations qui prennent en compte l’essentiel des préoccupations. Le premier gouvernement de Monsieur Boni Yayi a laissé tomber l’enseignement maternel, l’Enseignement Technique et la Recherche Scientifique. Devrions-nous prendre ces éléments comme indicateurs d’un état d’esprit du Président élu ?La question reste posée. Au remaniement suivant l’enseignement secondaire est séparé de l’enseignement primaire , la formation professionnelle qui était rattachée à l’enseignement supérieur est retournée à l’enseignement secondaire qui accueille l’enseignement technique. L’Enseignement Supérieur accueille la Recherche Scientifique et retrouve la dénomination du dernier Gouvernement de Kérékou. A quoi a bien pu servir cette ballade fort coûteuse pour les finances et les ressources humaines du pays ? Le 17 Juin 2007, à la suite du 6è Changement de gouvernement, l’Enseignement Primaire accueille l’Enseignement Maternel, les Langues Nationales et l’Alphabétisation. Avec le 7è changement du 2 Novembre 2007 intervenu au niveau de l’Education, le Ministère en charge de l’ Enseignement primaire abandonne les Langues Nationale et l’Alphabétisation qui sont confiées à un autre ministère, ce qui porte à quatre le nombre de ministères en charge de l’Education dans notre pays. Cette instabilité que Monsieur Boni Yayi entretient au niveau de l’Education est au plus haut point préjudiciable au système éducatif qui est en train d’être saccagé par cette méthode de gestion. Il faut que chacun se rappelle qu’au moment où Monsieur Boni Yayi convoquait un forum sur l’Education, il n’y avait que deux Ministères en charge de l’Education. Que chacun se rappelle que le Forum avait préconisé pour l’Education, un seul ministère et des secrétariats d’Etat. Vous connaissez maintenant la réponse et le mépris de Monsieur Yayi Boni au Forum et c’est dommage. Le PSD-BELIER ne veut pas parler de la qualité des hommes et des femmes qui ont en charge notre bijou qu’est l’école. L’Ecole est en effet une institution qui s’accommode mal de la proximité de la médiocrité professionnelle et morale. (SUITE DEMAIN)

  • MONSIEUR BONI YAYI N'A AUCUNE VISION POUR LE BENIN

     

    En 2006 le peuple béninois a élu  Boni Yayi comme Président de la République avec l'espoir que ses conditions de vie allaient s'améliorer. Deux ans après, le PSD-BELIER  analysait ce qu'il nous a montré comme gouvernance et a rendu publique la déclaration du 06 Avril 2008.Yayi n'avait aucune vision  pour le Bénin.

     

    DECLARATION DU PARTI SOCIAL DEMOCRATE LE BELIER 

                    (PSD-BELIER)

                                                            06Avril 2008

     

            BONI YAYI  DEUX ANS APRES

    Les  16 et 24 Mars  2008, le Bureau Politique du PSD-BELIER s’est réuni en sessions extraordinaires  pour analyser la situation  que vivent les populations de  notre pays deux ans après la prise du pouvoir par Monsieur Boni Yayi. Le Bureau Politique a décidé,  à l’issue de ses travaux,  de rendre publique la  présente déclaration.

     Tous les peuples du monde   aspirent fondamentalement au changement, à l’amélioration de leurs conditions de vie. Cette tendance n’est pas spécifique à un peuple donné ni à une époque donnée. Elle est générale et permanente.

    Le peuple béninois a toujours aspiré au changement et sa soif n’a jamais pu être étanchée. Il arrive des moments où cette aspiration est très forte et se cristallise autour d’événements et autour d’hommes que la situation a fait émerger.

    Les élections présidentielles de 2006 ont été  un de ces événements et Monsieur Boni Yayi    un de ces hommes que les conditions particulières  de notre pays ont fait émerger. Après le  premier tour des Elections présidentielles de Mars 2006 qui a dégagé les deux  candidats du deuxième tour, des problèmes d’interprétation de la Constitution ont commencé à se poser pour savoir quand devait avoir lieu le deuxième tour et surtout à quel moment devait commencer la campagne pour ce deuxième tour.

           Que chacun se rappelle  que c’est le 17 Mars 2006 que KEREKOU  a pris le décret convoquant le corps électoral  pour le 19 Mars 2006 pour ce deuxième tour. Que chacun se rappelle  que la Cour Constitutionnelle  avait pris une décision  et demandé à KEREKOU  de convoquer le corps électoral pour le 22 Mars 2006. Que chacun se rappelle qu’aux termes de la Constitution qui nous régit,    les  décisions   de la Cour  s’imposent à tout le monde  et à toutes les institutions de la République.  Que chacun se rappelle enfin que  Kérékou  a  refusé  de se plier à cette décision de la Cour et qu’il a  dit qu’il est le garant de la Constitution et que si les élections n’avaient  pas lieu le 19 Mars 2006  ce serait terminé. La CENA dirigée par NOUWATIN  décide de faire culbuter le général en évitant de l’affronter de face. Le samedi 18 Mars  vers 11 heures  NOUWATIN  invite  le peuple  à aller voter le dimanche 19 Mars  à partir de 7 heures du matin.  Par cette décision NOUWATIN  venait de renverser le général. C’est un peuple  porté par l’espoir d’une amélioration  de ses conditions de vie  qui  s’est  déplacé avec enthousiasme vers  les urnes ce 19 Mars 2006.   Ce fut une très grande victoire pour le peuple  qui a démontré à la face du monde entier que sur ce plan on ne pourrait pas le prendre en défaut. 


     

  • CHEIKH ANTA DIOP

     

     

    Sabine Baudoin Ghebache a partagé une photo de Kmt.
    Photo
     
  • LES CRIMES DE LA FRANCE COLONIALISTE

         

      La répression sauvage mais la lutte continue

    « …les indigènes  de l’Atacora n’avaient pas épuisé toute leur capacité  de résistance  dans les combats livrés  au début de l’année dernière  et l’agitateur GABA qui  trouva la mort  en Avril 1917  eut aussitôt un continuateur  et un vengeur  dans la personne de son frère  OROGOROGOU dès le mois de  décembre  cet indigène faisait circuler  un coussin  de guerre , ordonnait des sacrifices, multipliait  des allées et venues..Informé de ces menées le commandant SCALIER fit arrêter les plus notoires de ses partisans et de ses complices  et, décidé à faire  un exemple,  terrible, il ordonna  l’exécution sommaire et sans jugement  de dix d’entre eux  qui furent passés par les armes près du pont de  TANGUIETA  le 11 Avril dernier  à sept heures du matin… »  ( Extrait d’une lettre  du Gouverneur Général  à DAKAR  au Ministre des Colonies à Paris en date du 15 -8-1918)

    En 2012, cela fait  94 ans que  cet acte odieux a été  exécuté. Puis la nuit de l’oppresssion est tombée sur l’Atacora et sur les valeureux combattants de la liberté. Avec  l’indépendance, la nuit de la trahison est tombée sur leurs corps à côté du pont de TANGUIETA. Notre amitié avec le peuple français  ne peut pas se fonder sur  le reniement aux valeurs universelles du respect  de la vie et de la liberté. Je voudrais que vous ayez une pensée pour   ces assassinés du pont de TANGUIETA et pour tous ceux qui ont été assassinés  dans leur combat pour la liberté et l’indépendance de notre pays.


  • LA MARCHE DU 11 DECEMBRE 2012

     

        

       La Convention Patriotique des Forces de Gauche(CPFG)   a décidé d’Organiser une importante marche   pour réaffirmer  l’inextinguible volonté  d’Emancipation   du peuple béninois le 11 Décembre 2012.Vous êtes béninois ! Cette manifestation vous concerne et vous interpelle. C’est au moment où tout semble définitivement perdu  que la vie  renaît plus invincible que jamais ! Vive le peuple et vive sa volonté d’Emancipation. Le PSD-BELIER et les autres Partis et Organisations de la Convention Patriotique des Forces de Gauche  attendent votre soutien pour la réussite de  cette marche.



     

  • TRAVAUX DE LA COMMISSION NATIONALE SPECIALE



    Il y a  quarante ans la Commission Nationale Spéciale  remettait dans les mains du chef du Gouvernement Militaire Révolutionnaire les résultats de ses travaux  d'où sera tiré le DISCOURS pROGRAMME  du 30 Novembre 1972.

  • CITATIONS-2

     

     

           L’histoire de la misère, de la pauvreté, de la faim, de la maladie et des autres fléaux dans lesquels croupissent les populations de notre patrie depuis trente ans est l’histoire de la paresse et de la gourmandise des intellectuels militaires et civils de notre pays.

             Quiconque veut lutter contre la misère, la pauvreté, la faim et la maladie dans notre pays doit d’abord déclencher une lutte résolue contre la paresse et la gourmandise des intellectuels militaires et civils.

        Ces fléaux s’étalent devant nous, devant tous les Béninois et causent quotidiennement des ravages irréparables dans les familles, dans tout  le pays.

     

     

  • CITATIONS

               Pendant ces trente longues années, différents gouvernements se sont succédé à la tête du pays, les uns dénonçant les autres en les accusant de tous les maux. Et lorsqu’ils parvenaient à leur tour à la tête du pays, non seulement ils commettaient les mêmes fautes et les mêmes crimes mais ils les commettaient dans des proportions infiniment plus grandes.

               La première vérité liée à ce ballet des gouvernements à la tête du pays est qu’ils ont été tous, sans exception, des gouvernements au service exclusif de la même couche sociale. La deuxième vérité est que chacun de ces gouvernements s’est évertué à asseoir et élargir les bases matérielles de cette couche dans notre pays avec comme seul objectif inavoué le maintien et la consolidation de sa domination sur les couches pauvres démunies et exploitées de notre société.