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Bénin-Témoignages - Page 34

  • NOTRE PENSEE POLITIQUE


    QUELLE EST LA PENSEE POLITIQUE DU PSD-BELIER ?


    Toutes les actions d’un homme ou d’un groupe d’hommes s’inscrivent toujours dans une théorie. Quelle est la pensée politique de PSD-BELIER ? Quelle est la théorie de développement du PSD-BELIER, la théorie qui fonde notre action politique, notre action sociale, notre action économique, notre action éducative, notre action culturelle et artistique ? c’est le LIGUISME. Le LIGUISME est une théorie de développement élaborée dans le feu de l’action par des Béninois pour notre Pays, c’est la théorie béninoise de développement, une théorie juste pour aborder les problèmes de développement de notre pays dans leurs aspects les plus divers et dans tous les secteurs de l’activité sociale dans le respect de nos valeurs essentielles. C’est notre premier outil de développement.



  • LE POINT 4 DU DISCOURS PROGRAMME DU 30 NOVEMBRE 1972

     

    Il y a quarante ans les organisations progressiste de Jeunes et de travailleurs ont  rédigé le document  qui deviendra le Discours Programme du 30 Novembre1972.Les jeunes  et les travailleurs de cette époque avaient  un idéal qui a été trahi mais qui demeure pourtant toujours un idéal. C'est le point 4!

     

    1-    Education et formation des cadres

     

    Jusqu’ici l’enseignement, l’éducation et la culture ont été au service de la domination et de l’exploitation étrangère. Ici également s’impose une politique nouvelle d’indépendance nationale qui rompt avec le carcan d’étouffement de nos valeurs nationales que constitue l’école traditionnelle. Dans cette optique, il est impérieux d’installer un système d’éducation démocratique et patriotique qui permette l’enseignement d’une science et d’une technique moderne au service des intérêts du peuple. Pour cela, il faudra :

     

    -      Elaborer une réforme authentique de l’enseignement conforme aux exigences de la nouvelle politique. Cette réforme aura à mettre en place des structures, un enseignement d’orientation et de contenu conformes aux nécessités d’un développement économique et national indépendant ;

     

    -      Revaloriser nos langues nationales ;

     

    -      Réhabiliter notre culture en l’adaptant aux besoins de nos masses laborieuses ;

     

    -      Ouvrir notre université à toutes les formes du savoir et tous à tous les courants contemporains de la pensée scientifique. Elle doit avoir une vocation africaine en même temps qu’universelle et réserver une place privilégiée au brassage des expériences accumulées  par les universités sœurs.

     

     

     

    L’Etat doit exercer un contrôle rigoureux sur les écoles privées aussi bien confessionnelles que laïques. Pour l’enseignement catholique en particulier, l’Etat doit permettre une solution satisfaisante des problèmes ardus posés aux enseignants.

     

    Il faudra assurer le développement de la culture populaire en organisant dans les langues nationales, l’alphabétisation des masses, facteur essentiel de notre développement.

     

          Il est nécessaire de créer un Institut de linguistique, chargé de mettre au point les moyens de lever les obstacles à l’utilisation des langues nationales comme véhicule du savoir.

     

    Un autre groupe qui doit bénéficier de l’attention du Gouvernement Militaire Révolutionnaire est celui constitué par les jeunes.

     

    Notre conviction est que les jeunes peuvent jouer un rôle capital dans la transformation de la société de par leur nombre, leur disponibilité pour faire face aux mutations, leur impatience pour exiger des changements nécessaires.

     

    C’est pourquoi, par une série d’actions, mon gouvernement :

     

    -      Favorisera l’exercice réel des responsabilités par les jeunes en recourant au dialogue, à la confrontation et à la        consultation ;

     

    -      Cherchera à compenser dans tous les secteurs de la vie sociale les handicaps qui pèsent plus particulièrement sur les jeunes ;

     

    -      Luttera par l’éducation contre la délinquance juvénile.

     

    Une politique adéquate des spectacles, sports et loisirs favorise la santé mentale et physique du peuple travailleur.

     

    Il faut en conséquence :

     

    -      Créer un Conseil national des loisirs et spectacles qui fasse une plus grande place aux initiatives populaires en matière de spectacles ;

     

    -      Revaloriser le sport en encourageant les sportifs, en leur assurant les moyens d’existence ;

     

    -      Installer l’infrastructure et l’équipement sportif appropriés et offrir un encadrement qualifié.

     

     

     

  • LES LANGUES NATIONALES COMME OUTIL PRINCIPAL DE DEVELOPPEMENT

     

    Je poste ce document sur mon blog parce qu'il aborde avec esprit de responsabilité un aspect essentiel de notre développement.Le 30 Novembre 1972 Kérékou  a pris les 80% du travail que les organisations de Jeunes lui ont remis entre les mains le 15 Novembre1972.( c'est dans le point 4 du Discous  Programme du 30 Novembre 1972)  Après près de trente ans passés à la tête du pays, il a trahi cette volonté d'émancipation  exprimée par les jeunes de cette époque.Vous comprenez pourquoi j'aime ce que dit SOUROU 40 ans plus tard. Merci à vous tous!

     

     
    Si le Bénin était a repenser:

    Si le Bénin était à repenser, la première de mes priorités sera notre moyen de communication. Je mettrai tout en oeuvres pour que notre administration centrale en premier ainsi que tout notre système fonctionne en prenant en compte nos langues locales. Le français passera après nos langues dans tout notre système et ne sera utilisé que par mesure d'utilité.
    La question est pourquoi une réforme linguistique de cette envergure est-elle nécessaire ?

    J'explique la réponse à cette question comme suit:

    1-) Au Benin, nous sommes à peine 9 millions (peu nombreux) et nous voulons aller au développement. Nous avons donc besoin de la matiere grise de tout le monde.

    2-)Nous sommes dans un pays ou la grande majorité des populations (plus de 70%) ne comprennent pas cette langue étrangère qu'est le français.

    3-)Or Aujourd'hui a l'heure où nous parlons, tout notre système, que ce soit notre système administratif, notre système scolaire et autre fonctionnent dans cette langue étrangère que 70% de nos populations ne comprennent pas.

    4-)Cela veut dire quoi?
    Cela veut dire que nous mettons 70% (la grande majorite) des populations, c'est à dire ceux qui sont censés être les acteurs de notre développement en dehors de notre système de développement.
    On a pas besoins d'avoir des talents en devinette pour comprendre que nous n'arriverons au GRAND
    JAMAIS au développement en procedant de la sorte; c'est a dire en mettant la grande majorité des acteurs du développement en dehors du système. C'est un peu comme crier vouloir une chose, et tout faire pour que cette chose n'arrive jamais.

    5-) Les moins des 30% qu'on appelle communément "intellectuels" et qui ont pris le système en otage, ont leurs yeux rivés vers l'exterieur (a cause de l'éducation néo-colonialiste qu'ils ont reçue).
    Hors nous savons tous qu'aucun pays dans ce monde ne s'est développé en rivant ces yeux vers l'extérieur, c'est a dire vers ceux qui veulent toujours le maintenir dans l'emprise. Tout développement est avant tout endogène, c'est-a-dire basé sur nos réalités quotidiennes.
    Pour l'instant le développement que nos intellectuels de jusqu'alors nous font faire n'est pas basé sur nos réalité quotidiennes béninoises, mais sur des règles que fixent un groupe d'individus depuis l'exterieur qui ne savent même pas de quoi nous souffrons au Benin et n'en sont d'ailleurs pas intéressés. Ils ne sont intéressés que par nos matières premières dont ils ont besoins pour leurs usines; rien d'autres.

    Conclusion: Si le Bénin était a repenser, je commencerais par intégrer nos langues locales a l'administration afin de pouvoir prendre en compte ,non pas seulement, moins de 30% des
    populations (acteurs de developpement), mais la totalité des 100% des populations. Rompre
    avec cette inégalité qui n'a aucun sens, sera le premier facteur determinant de notre
    développement réel a la base.
  • COMPTER D'ABORD SUR NOS PROPRES FORCES

    Je poste cette opinion de Sourou  parce qu'elle correspond à ce que nous devons faire aujourd'hui, demain et plutard si nous voulons vivre comme des hommes, simplement comme des hommes!

     

     
    ” Il faut proclamer qu’il ne peut y avoir de salut pour nos peuples que si nous tournons radicalement le dos à tous les modèles que tous les charlatans de même acabit ont essayé de nous vendre 20 années durant. Il ne saurait y avoir pour nous de salut en dehors de ce refus là. Pas de développement en dehors de cette rupture là. Il faut ranimer la confiance du peuple en lui-même en lui rappelant qu’il a été grand hier et donc, peut-être aujourd’hui et demain. Fonder l’espoir.

    L’esprit de liberté, de dignité, de compter sur ses propres forces, d’indépendance et de lutte anti-impérialiste […] doit souffler du Nord au Sud, du Sud au Nord et franchir allègrement les frontières. D’autant plus que les peuples africains pâtissent des mêmes misères, nourrissent les mêmes sentiments, rêvent des mêmes lendemains meilleurs. ” Août 1984, Conférence de presse

    Commentaire:
    quand je pense que Thomas Sankara tirait notre attention sur ceci depuis 1984. Je n'avais que 2 ans d'âge. Aujourd'hui j'en ai 30 et nous en sommes la. Mes frères nous devons conjuguer nos efforts et agir.
     


  • FAUX MODELES, FAUSSES VALEURS

    Je poste ce document  parce qu'il est le son de la résistance au culte des contre valeurs, un culte que développent tous ceux qui ont part à la rapine de Kérékou. Non à la tentative d'assassinat des vraies valeurs dans notre pays.

     

     

     

     

    COMITE DES VICTIMES DE LA REPRESSION POLITIQUE AU BENIN

     

    Tél. : 97-26-36-20 / 97-98-82-18 / 97-18-38-23 / 97-72-80-65

     

     

     

    Lettre ouverte

     

    A

     

    -      Monsieur le Président de la République,

     

    -      Monsieur le  Président de l’Assemblée Nationale,

     

    -      Messieurs les Présidents des institutions,

     

    -      Autorités politiques du Bénin en général,

     

    Une infamie est en cours dans notre pays depuis le 03 septembre 2012. Il s’agit du fameux projet de l’ONG-SNDB de rendre hommage à Mathieu Kérékou et plus précisément de l’immortaliser comme, disent-ils, un modèle pour la jeunesse.

     

    Messieurs,

     

    Tout homme sensé ne peut manquer d’être indigné, à plus forte raison les victimes des forfaits de KEREKOU pendant 29 ans de mal gouvernance à la tête du pays. C’est pourquoi, une campagne contre la réhabilitation des tortionnaires et des fossoyeurs de l’économie nationale, Mathieu KEREKOU en tête est organisée depuis le 20  jusqu’au 30 octobre et se poursuivra au-delà en terme de devoir de mémoire au sujet des crimes de toutes sortes commis par Mathieu KEREKOU.

     

    Dans ce cadre, les communications, les témoignages et les expositions de photo et de textes mettent à nu les crimes de sang, les crimes contre les libertés, les crimes économiques dont Mathieu KEREKOU s’est rendu coupable tout au long de son règne. On pourrait citer ses ordres de tirer à vue et sans sommation sur tout manifestant et qui ont entrainé l’assassinat de l’élève Parfait ATCHAKA, ses ordres de faire arrêter des responsables étudiants en 1976, 1979, 1985, ou des travailleurs en 1981, 1988, 1989, etc. On rappellerait à peine les assassinats dans le cadre de la lutte contre la féodalité dont les nombreuses victimes demeurent inconnues de même que reste inconnu le nombre des hommes et femmes tués lors des soulèvements à Cotonou, Abomey, Bohicon suite à l’assassinat de Michel AIKPE. En bref, KEREKOU  a semé la terreur, remplissant les prisons où nombre de détenus politiques sont morts faute de soins, poussant des gens à l’exil ou à la clandestinité. Rappelons également certains crimes économiques tels Affaire Kovacs, Vons de Cotonou, Moutons Mérinos etc. L’immunité qui lui a été accordée à la conférence nationale n’a servi qu’à le renforcer dans sa nature d’homme cynique comme osent le dire maintenant certains de ses anciens collaborateurs...Ainsi, à son retour au pouvoir, il renoue avec ses amours. On a encore connu de 1996 à 2006 des élections truquées avec une Cour Constitutionnelle aux ordres (mars 2001), des assassinats crapuleux non élucidés (inspecteur Koundé, les magistrats Dossou-Yovo et Coovi), le dépeçage et pillage du pays jusqu’à la faillite (affaire Défi emploi jeune, Bell Bénin, Béta, Hamani, Sonacop, Avion présidentiel, etc., ).  Ses exploits de déprédateur de l’économie nationale figurent dans le livre de Adoun et Awoudo (édité à la Fondation Friedrich Ebert, Cotonou).

     

    Et c’est cette immunité qui est la base de l’impunité qui gangrène notre société de sorte que tant que KEREKOU ne sera pas jugé, il n’y a pas d’avancée possible pour la démocratie dans notre pays ainsi qu’on le voit avec les scandales qui fleurissent aujourd’hui. On assiste à des disparitions non élucidées, cas de Dangnivo, au déni de justice ou à la manipulation de la justice. Nombre de plaintes de victimes régulièrement faites devant les tribunaux y dorment dans les tiroirs depuis des années. Pendant ce temps on assiste à des procès commandités par le Président de la République. Le secret de l’instruction n’est pas respecté avec la complicité de procureur ou de juge d’instruction ou encore de commissaire de police.

     

    Messieurs,

     

    Vous conviendrez avec nous que l’initiative de présenter KEREKOU comme un modèle vise à célébrer non pas la probité, le patriotisme et le don de soi mais au contraire à magnifier un tortionnaire qui est l’incarnation du truand sans foi ni loi, du criminel qui a passé 29 ans au pouvoir pour tuer, priver le peuple de liberté afin de s’enrichir et ruiner le pays. Rendre hommage à KEREKOU, c’est sacraliser la barbarie dans les mœurs politiques, c’est immortaliser l’impunité au sommet de l’Etat.

     

    Voilà pourquoi nous condamnons fermement cette odieuse initiative et demandons aux hautes autorités politiques de se démarquer de  cette tentative de déshumanisation de la jeunesse qu’on veut dévoyer de la quête de la générosité, du don de soi, du patriotisme, de la probité en lui présentant un truand et un assassin comme un modèle à suivre.

     

    L’objectif inavoué, en dernière analyse, dans cette infamie c’est de faire croire que dans notre pays il n’y a pas d’hommes valeureux et vaillants qui n’ont pas du tout reculé devant la furie de Mathieu KEREKOU et dont le courage et l’esprit de sacrifice pour leur pays ont eu raison de lui et de son régime tyrannique.

     

    Alors, Messieurs, le devoir de dire la vérité à la jeunesse et au peuple exige de vous de réhabiliter et d’immortaliser enfin, ici et maintenant, les martyrs et les héros qui ont donné leur vie et leur sang ou encore leurs années de formation ou de carrière pour vaincre l’autocratie et conquérir les libertés aux côtés du peuple. Vous auriez  contribué ainsi à barrer la voie à ceux qui accusent les jeunes à longueur de journée de perte des valeurs alors qu’ils ne leur montrent que les contre-valeurs comme le prouve cette funeste tentative de présenter KEREKOU comme un modèle. Il faut enfin lever l’immunité à KEREKOU, et le renvoyer devant la justice pour que cesse l’impunité. D’ors et déjà nous introduisons un dossier de recours en annulation de la loi portant immunité personnelle à Mathieu Kérékou.

     

    A côté de ces solutions essentielles il restera à réaliser l’indemnisation sans délai des victimes conformément à la convention contre la torture avec la participation de leurs représentants aux commissions créées à cet effet , à prendre les lois appropriées et à faire la lumière sur les disparitions et assassinats non élucidés, le contrat de déchet nucléaire (contrat N° 35-/PR/MPS/MET/MFE/MJ/EPSP du 12 janvier 1988), les victimes des soulèvements de 1975, les victimes de la lutte contre la féodalité.

     

    Avec tous nos sentiments déférents et patriotiques.

     

    Cotonou, le 27 octobre 2012

     

    Pour le Comité,

     

    Denis Y. SINDETE

     

  • CRIMES ET CHATIMENTS!

     

     

     

     

                 

  • LES LECONS DE L'HISTOIRE

     

                                                           

                               Sabine Baudoin Ghebache

     

     

    Le président russe, Vladimir Poutine, a estimé jeudi que les Occidentaux avaient semé le "chaos" dans de nombreux pays, le faisaient en Syrie et qu'ils ne pouvaient "pas s'arrêter" malgré les mises en garde de la Russie, dans des déclarations retransmises à la télévision.

    "Le plus important est que nos partenaires ne peuvent pas s'arrêter. Ils ont déjà semé le chaos sur de nombreux territoires. Maintenant ils mènent la même politique dans d'autres pays, notamment en Syrie", a déclaré le président russe.

    "Nous avions bien dit qu'il fallait agir avec circonspection, ne rien imposer par la force, sous peine d'amener le chaos. Et que voyons-nous aujourd'hui ? La situation ressemble fort au chaos", a poursuivi M. Poutine.

     


    "Nous ne voudrions vraiment pas que se reproduise aujourd'hui ce qui s'est passé dans l'histoire de l'Humanité il y a des siècles", a encore déclaré M. Poutine, selon les agences russes, évoquant la prise et la destruction de Carthage par l'empire romain au IIe siècle avant notre ère.

    "La premier nettoyage ethnique massif connu a eu lieu entre l'empire romain et Carthage, qui se trouve sur le territoire de l'Afrique du Nord", a-t-il déclaré.

    "L'empire romain a non seulement pris et occupé Carthage, mais une fois que tout y a été détruit, que tous y ont été saignés, on a répandu du sel pour que plus rien ne pousse", a-t-il poursuivi.

    "A mon avis, ce qui se passe y ressemble, quand des pays forts tentent d'imposer aux faibles leur mode de vie et leur morale, sans regard pour l'histoire, les traditions, la religion de tel ou tel autre pays", a encore déclaré le président russe.

    La Russie, allié traditionnel de Damas, n'a cessé de dénoncer la politique d'"ingérence" occidentale notamment lors des révolutions arabes, et a bloqué jusqu'ici avec la Chine toute résolution contraignante pour la Syrie au Conseil de sécurité de l'ONU, où elle dispose d'un droit de veto.

    M. Poutine a fait ces déclarations après avoir appelé la veille les Occidentaux à "tirer les leçons" des effets de leur politique, menée selon lui au mépris des règles des Nations Unies.

    Le Premier ministre britannique David Cameron a visé en retour la Russie en déclarant pour sa part, devant l'Assemblée générale de l'ONU à New York, que le sang des enfants tués en Syrie était une "tache terrible" sur "ceux qui ne se sont pas opposés à ces atrocités et qui dans certains cas se sont rendus complices du règne de terreur du (président Bachar al-)Assad". 

     

    Goras Gaglozoun De toutes les façons les occidentaux ne reculeront pas. Pourquoi? Ils ont fondamentalement besoin de développer leurs industries d'armement, leurs industries alimentaires( besoins humanitaires) leur agriculture, leur idéologie cousue de fausses valeurs avec lesquelles ils trichent constamment eux-mêmes.Ils ont besoin de recoloniser les autres pays qui ne peuvent développer leurs richesses naturelles.La Russie et la Chine sont dans leur ligne de mire.Mais les Occidentaux oublient toujours de tirer les leçons de l'histoire, les leçons que l'histoire nous a permis de voir.Quand vous détruisez les autres vous préparez la destruction pour les vôtres et c'est pour cette raison que les peuples de l'occident devraient tout faire pour arrêter les agressions occidentales contre les autres peuples.Bonne soirée à vous et autour de vous!

     

  • DETENTE1

     

          

     

     

     
    Un vieil indien explique à son petit fils que chacun de nous a en lui deux loups qui se livrent bataille. Le premier loup représente la sérénité, l'amour et la gentillesse. Le second loup représente la peur, l'avidité et la haine.
    "Lequel des deux loups gagne?" demande l'enfant.
    "Celui que l'on nourrit." répond le grand-père.

    Sagesse Amérindienne