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Bénin-Témoignages - Page 38

  • EXTRAITS DU MANIFESTE DU PSD-BELIER

     

    Nous sommes ainsi en présence d’une société déformées, une société dont il devient urgent d’entreprendre la transformation.

          Dans la situation de déliquescence physique et morale, de débilité intellectuelle et de grand désordre dans les consciences, situation dabs laquelle se trouvent plongées les populations de notre patrie, plusieurs partis sont apparus, plusieurs courants politiques se sont exprimés, certains avec leur programme, les autres sans programme, tous avec la volonté affirmée de prendre ou de garder le pouvoir et de l’exercer.

          Mais beaucoup de Béninois regardent et ne s’y retrouvent pas encore. Il est donc nécessaire, voire urgent que le courant qu’ils portent dans le cœur ose enfin s’exprimer. Le présent Manifeste se veut ‘expression de ce courant.

    DEUXIEME PARTIE

    TRENTE ANNEES DE GESTION DES AFFAIRES D’ETAT DANS NOTRE PAYS

    L’histoire de la misère, de la pauvreté, de la faim, de la maladie et des autres fléaux dans lesquels croupissent les populations de notre patrie depuis trente ans est l’histoire de la paresse et de la gourmandise des intellectuels militaires et civils de notre pays.

             Quiconque veut lutter contre la misère, la pauvreté, la faim et la maladie dans notre pays doit d’abord déclencher une lutte résolue contre la paresse et la gourmandise des intellectuels militaires et civils.

             Cette lutte, nous avons décidé de la mener.

             Les manifestations de ces grands fléaux dans notre pays ne sont plus  guère à démontrer et c’est pourtant ce à quoi s’acharnent tous les groupes et partis anciens ou nouveaux qui promettent une politique nouvelle pour notre pays.

             Ces fléaux s’étalent devant nous, devant tous Béninois et causent quotidiennement des ravages irréparables dans les familles, dans tous le pays.

             Notre conviction profonde est que cette grande misère, cette grande pauvreté, cette grande faim et cette grande maladie qui frappent si durement les populations de notre pays ne sont pas venues du ciel.

             Ce sont des hommes et des femmes connus ou qu’on peut connaître qui ont imposé ces fléaux au peuple du Bénin. Ces hommes et ces femmes sont béninois. Ils sont avec nous tous les jours de notre vie.

    MAIS OU LES TROUVE – T – ON ?

             On les trouve dans la couche supérieure de l’armée, c’est-à-dire parmi les policiers, les gendarmes et les militaires de hauts grades. Or, il y a pourtant des policiers, des gendarmes, des  soldats qui souffrent aussi de ces fléaux pendant que d’autres agents des forces armées profitent et participent à cette fête macabre dans le vaste cimetière qu’est devenue notre société.

    Cela démontre qu’il ne suffit pas que des soldats, des policiers ou des gendarmes soient au pouvoir pour que tous les soldats, policiers ou gendarmes soient à l’abri des malheurs qu’occasionne la politique mise en œuvre dans notre pays.

             La vérité est que bien d’apatrides de l’armée ont largement participé au malheur dégradant de notre pays, le fusil à la main.

             Ces hommes qui ont fait le malheur des populations de notre pays sont parmi les professeurs. Or les professeurs aussi souffrent de la misère, de la faim, de la pauvreté et de la maladie qui frappent les populations de notre pays.

     

             Certains d’entre eux en sont morts ces dernières années. Cela démontre qu’il ne suffit pas que des professeurs soient au pouvoir pour que tous les professeurs soient à l’abri des malheurs qu’occasionne la politique mise en œuvre dans notre pays.

             Ces hommes qui ont causé le malheur des populations des villes et des campagnes de notre pays sont parmi les instituteurs. Or les instituteurs souffrent dans leur immense majorité de la faim de la misère, de la pauvreté et de la maladie dont souffrent les populations de notre chère patrie.

             Un grand nombre d’entre eux, honnêtes humbles et travailleurs ont perdu leurs enfants, leurs femmes leurs parents ces dernières années. Beaucoup d’entre eux sont morts victimes des crimes commis contre la patrie par d’autres instituteurs comme eux.

             Cela démontre qu’il ne suffit pas que des instituteurs soient au pouvoir  pour que les instituteurs soient à l’abri des malheurs qu’occasionne la politique mise en œuvre dans notre pays.

             Ces hommes qui ont fait le malheur de notre peuple se retrouvent parmi les magistrats, les docteurs, les ingénieurs, les infirmiers, les agents des services de santé, les agents des services agricoles et les agents de tous les autres secteurs de l’activité nationale, tous intellectuels.

             Et pourtant aujourd’hui, des docteurs, des ingénieurs, des agents et cadres des autres secteurs de l’activité nationale souffrent de la misère, de la faim et des autres fléaux que des intellectuels militaires et civils ont imposés au béninois. Cela démontre qu’il ne suffit pas que des docteurs, des ingénieurs, des agents des services agricoles et de santé et des autres secteurs de l’activité nationale soient au pouvoir pour que les aspirations de ces diverses couches socioprofessionnelles soient satisfaites.

             C’est parce que, il faut désormais s’en convaincre au sein des professions des groupes d’individus, quelquefois très opposés du point de vue politique peuvent exister et existent effectivement.

             Mais il s’agit de savoir comment ces hommes qui ont causé la misère, la faim, la pauvreté et la maladie des populations de notre pays ont procédé pour parvenir à ce résultat lamentable.

             Dans la tentative de la résolution de cette question nous sommes naturellement  amenés à identifier les caractéristiques essentielles des intellectuels militaires et civils de notre pays.

                        (MANIFESTE DU PSD-BELIER 1990 pp5-8)



     

     

     

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  • MANIFESTE DU PARTI SOCIAL DEMOCRATE LE BELIER (PSD-BELIER) EXTRAIT

     

     

    Ces différentes fractions de la couche privilégiée forment en fait un tout, une véritable hydre dont les différentes parties se compénètrent et se complètent. Ainsi tel militaire de la couche supérieure de l’armée, ministre, a sa belle – mère qui détient le monopole de tel produit de grande consommation et son oncle qui accapare d’immenses terres dans telle région. Tel autre intellectuel non militaire, Directeur Général de telle société d’Etat, est beau-frère de tel officier supérieur et neveu d’un commerçant qui possède de nombreux camions – titans que la société naturellement loue pour évacuer ses produits. On peut multiplier sans fin des exemples de ce genre. Il est donc intéressant que chacun saisisse nettement que c’est dans de tels rapports que se trouvent les différentes fractions de la couche privilégiée qui a dirigé notre pays depuis trente ans.

     

                Quant au monde ouvrier béninois, il est né avec les premières installations industrielles ou à caractère industriel. Il devrait normalement se développer quantitativement et qualitativement. Mais les différentes fractions de l’intelligentsia militaire et civile édifient depuis trente ans de véritables  entraves à son développement. En vérité le monde ouvrier est tué littéralement au fur et à mesure qu’il naît. Après les dockers et les cheminots, c’est dans les huileries qu’on voit apparaître les ouvriers. Ainsi les huileries d’Ahozon, de Gbada, d’Avrankou, d’Agamé, d’Ikpinlè et autres dont certaines ont disparu depuis, ont été et restent de véritables pépinières du monde ouvrier.

     

                Ces usines constituaient pour notre pays une grande promesse non pas tant en raison de ce qu’elles pouvaient apporter au pays comme richesse économique, mais à cause des hommes auxquels elles donnaient le jour.

     

                En effet, très nombreux étaient les ouvriers capables de fabriquer plupart des pièces des machines de leurs usines.

     

                C’était des hommes d’un monde nouveau pour notre pays à dominance agricole. En condamnant ces usines à mort, les différents gouvernements on condamné à mort du même coup, ces ouvriers et c’est par centaines qu’ils ont subi les crimes de intelligentsia militaire et civile. Ils ont été poussés dans l’ombre, livrés à la faim, à la maladie, à la misère et à la mort par ces hordes de malfaiteurs qui ne pensent à rien d’autre qu’à leurs intérêts.

     

                Mais une question fondamentale pour quiconque veut entreprendre de transformer notre société demeure celle du développement en quantité et en qualité des forces productives. Or pendant trente ans les intellectuels militaires et civils qui ont gouverné notre pays et son économie ont déployé toutes les ressources intellectuelles dont ils disposaient pour empêcher ce développement. Et le processus de destruction du monde du travail s’est accéléré de façon inouïe avec le pouvoir malhonnête, corrompu et anti-national du Parti de la Révolution Populaire du Bénin (PRPB).

     

                Qu’on songe un peu aux nombreuses sociétés d’Etat, aux nombreuses fermes d’Etat, aux nombreuses sociétés provinciales conduites à la faillite avec pour conséquence pour les populations la condamnation à mort de plusieurs milliers de personnes et des membres de leur familles.

     

                Une photographie instantanée de notre société donnerait aujourd’hui l’image suivante :

     

    -       Un grand nombre de paysans individuels, avec des moyens de production arriérés, des paysans de plus en plus désespérés.

     

    -       Un nombre de plus en plus grand d’artisans dont le niveau d’instruction s’élève avec l’apport des nombreux éléments venus de l’école mais dont les moyens de production sont rudimentaires et archaïques. Ils ne sont pas encore capables de voir plus loin que l’horizon immédiat et borné de la localité où ils vivent.

     

    Un petit nombre d’ouvriers qui croupissent dans une misère grandissante et qu’on rencontre notamment dans les usines et les grosses unités de production comme la SONICOG, les cimenteries, l’OCBN, l’OBEMAP, le Port Autonome de Cotonou, les brasseries, les industries textiles, les fabriques de cigarettes et allumettes, les postes et Télécommunications, la SBEE et les fermes à caractère industriel.

     

          Enfin un nombre grandissant d’intellectuels militaires et civils qui s’emparent du pouvoir d’Etat et l’exercent dans leurs intérêts sordides. Dans son ensemble cette intelligentsia, parce que non productive, constitue un sérieux handicap au développement du pays. On rencontre ces intellectuels dans les administrations des sociétés où la lenteur des services dont ils s’occupent rend le travail des sociétés très peu rentable. On les  rencontre dans les écoles et entités universitaires, dans les banques et dans le secteur tertiaire hypertrophié où ils veulent tous s’occuper du commerce des produits fabriqués à l’étranger et le plus souvent par personnes interposées.

     

          Nous sommes ainsi en présence d’une société déformée, une société dont il devient urgent d’entreprendre la transformation.


    (EXTRAIT  DU MANIFESTE DU PSD-BELIER 1990  pp3-5 )




     

  • MANIFESTE DU PARTI SOCIAL DEMOCRATE LE BELIER (PSD-BELIER)

     

    La première vérité liée à ce ballet des gouvernements à la tête du pays est qu’ils ont été tous, sans exception, des gouvernements au service exclusif de la même couche sociale. La deuxième vérité est que chacun de ces gouvernements s’est évertué à asseoir et élargir les bases matérielles de cette couche dans notre pays avec comme seul objectif inavoué le maintien et la consolidation de sa domination sur les couches pauvres démunies et exploitées de notre société.

     

                Ainsi cette couche a profité de ces trente années de domination pour se développer et s’enraciner. En effet son effectif s’est accru de façon sensible et ses éléments de plus en plus conscients de leurs intérêts de couche privilégiée sont de plus en plus décidés à les défendre par tous les moyens en même temps qu’ils perçoivent de plus en plus nettement les véritables ennemis de leurs privilèges. Mais aujourd’hui, où trouve t- on les éléments de cette couche sociale privilégiée ?

     

                On les trouve au sein de la couche supérieure de l’armée où ile utilisent le terrorisme féodalo-colonial pour se tailler des parts de plus en plus grandes dans la richesse nationale, et ce, en véritables brigands de grands chemins.

     

                On les trouve au sein des différentes couches de l’intelligentsia non militaire. Les éléments de cette origine se comportent en véritables chiens couchants de tout ce qui détient la force brutale.

     

                Ce sont ensuite les parents alliés et amis des deux catégories précédentes à qui sont faites des facilités soit pour importer et vendre les produits étrangers avec des marges bénéficiaires exorbitantes, soit pour collecter à des prix dérisoires les produits agricoles béninois qu’ils vendent ensuite et toujours avec des marges bénéficiaires très élevées. Soit encore pour offrir par népotisme à leur enfants des possibilités de formation non méritées à l’étranger, possibilités qui leur permettent de revenir plus tard, étant une fois encore assurés de devenir des dirigeants du pays.

     

                A tous ces artisans du délabrement de notre société s’ajoutent naturellement ceux qui entretiennent les pesanteurs paralysantes dans nos campagnes.

     

                Ces différentes fractions de la couche privilégiée forment en fait un tout, une véritable hydre dont les différentes parties se compénètrent et se complètent. Ainsi tel militaire de la couche supérieure de l’armée, ministre, a sa belle – mère qui détient le monopole de tel produit de grande consommation et son oncle qui accapare d’immenses terres dans telle région. Tel autre intellectuel non militaire, Directeur Général de telle société d’Etat, est beau-frère de tel officier supérieur et neveu d’un commerçant qui possède de nombreux camions – titans que la société naturellement loue pour évacuer ses produits. On peut multiplier sans fin des exemples de ce genre. Il est donc intéressant que chacun saisisse nettement que c’est dans de tels rapports que se trouvent les différentes fractions de la couches privilégiée qui a dirigé notre pays depuis trente ans.


                           (EXTRAIT DU MANIFESTE DU PSD-BELIER pp2-3)


     

  • MANIFESTE DU PARTI SOCIAL DEMOCRATE LE BELIER (PSD-BELIER)

     

    Voici ce que nous écrivions en 1990.Aujourd'hui rien n'a changé  ou si!  Les couches populaires sont devenues plus pauvres, il y a pour elles plus de difficulté  pour envoyer les enfants à l'école, pour se soigner,  pour se loger, pour se nourrir pour avoir un poste à la fonction publique.Aujourd'hui le président qui gouverne notre pays n'est soutenu que par les institutions étrangères.Pendant combien de temps ces institutions pensent-elles le maintenir à la tête de notre pays? Posez-leur la question. Voici l'extrait que je vous propose aujourd'hui Bonne lecture et à demain pour un autre extrait!

     

    Le 1er Août 1990, notre pays aura trente ans en tant qu’Etat souverain dans l’arène de la politique internationale. Trente ans dans la vie d’un pays c’est insignifiant, mais ce n’est pas négligeable, vus surtout par rapport à la vie des hommes. Cependant quiconque veut aujourd’hui se pencher sur le présent de la République Polaire du Bénin, est obligé de reconnaître, quelle que soit sa position actuelle dans l’échelle sociale, qu’il se trouve en face d’un pays malade, profondément malade. Et la littérature déjà disponible sur la question est impressionnante. Les auteurs ont pris le pays sous tous les angles possibles. Certains le décrivent sous son aspect économique. D’autres se préoccupent de ses institutions politiques. D’autres encore sont attirés par ses aspects sociaux. Tous aboutissent à la même conclusion : c’est un pays malade qui ne pourra guère se relever avant deux ou trois générations. Et pourtant, pourtant on disait bien en 1960 que c’était un pays qui parlait avec les meilleurs atouts. Le premier de ces atouts dont disposait le Bénin était à n’en pas douter le grand nombre de ces cadres militaires et civils proportionnellement à sa population et à la superficie.

     

                Ce sont ces cadres militaires et civils, qui ont pris en main le destin de notre pays depuis trente ans. Que s’est-il donc passé pour que trente ans après, nous soyons encore à nous demander par où commencer ?

     

                Pendant ces trente longues années, différents gouvernements se sont succédé à la tête du pays, les uns dénonçant les autres en les accusant de tous les maux. Et lorsqu’ils parvenaient à leur tour à la tête du pays, non seulement ils commettaient les mêmes fautes et les mêmes crimes mais ils les commettaient dans des proportions infiniment plus grandes.

     

                Et pendant que les différentes fractions de cette intelligentsia se livraient à cette danse macabre autour et à l’intérieur du pouvoir d’Etat, les populations voyaient leur niveau de vie empirer d’année en année, d’un pouvoir à un autre.

     

                La première vérité liée à ce ballet des gouvernements à la tête du pays est qu’ils ont été tous, sans exception, des gouvernements au service exclusif de la même couche sociale. La deuxième vérité est que chacun de ces gouvernements s’est évertué à asseoir et élargir les bases matérielles de cette couche dans notre pays avec comme seul objectif inavoué le maintien et la consolidation de sa domination sur les couches pauvres démunies et exploitées de notre société.(MANIFESTE DU PSD-BELIER  pp1-2 2è Edition 

     

  • CONVENTION PATRIOTIQUE DES FORCES DE GAUCHE

     

     

    Dès à présent, la Convention Patriotique des Forces de Gauche

          S’oppose à toute régression des acquis démocratiques et syndicaux des travailleurs et du peuple. Elle exige par conséquent :

     

    - Le jugement des violateurs des libertés de réunion, de manifestation, de grève, d’accès équitable aux média publics

     

    - La rétrocession des défalcations pour exercice du droit de grève

     

    - La réhabilitation du droit de grève au corps de la Douane

     

    -Le retrait des projets ou propositions des lois restreignant le droit de grève des travailleurs...

    EXTRAIT  DE LA DECLARATION FONDANT LA CONVENTION PATRIOTIQUE DES FORCES DE GAUCHE.

     

  • EXTRAITS DU MANIFESTE DU PSD-BELIER



    " Pendant ces trente longues années, difféérents gouvernements se sont succédé  à la tête du pays les uns dénonçant les autres en les accusant de tous les maux.Et lors qu'ils  parvenaient à leur tour à la tête du pays non seulement ils commettaient les mêmes fautes et les mêmes crimes, mais ils les commettaint  dans des proportions infiniment plus grandes." Manifeste du PARTI SOCIAL DEMOCRATE LE BELIER (PSD-BELIER)


     

  • LA CONVENTION PATRIOTIQUE DES FORCES DE GAUCHE

     

     

    Avec la fondation de  la Convention Patriotique des Forces de Gauche le peuple  béninois  dispose d’un outil supplémentaire de combat.  Et maintenant, il sera de plus en plus  difficile  que les victoires des combats des travailleurs et des progressistes soient  volées comme ce fut le cas en 1963, en 1965, en 1967, en 1969, en 1972 et en 1989-1990.Il est nécessaireque tous ceux qui croient que l'émancipation du peuple béninois est possible se mettent à réunir les matériaux nécessaires à la construction de cette œuvre.  Par la fondation de la Convention Patriotique des Forces de Gauche, nous avons engagé un processus qui  doit contribuer grandement au combat émancipateur du peuple béninois. Jusqu’ici ce sont ceux qui n’ont pas participé aux luttes qui en ont ramassé les fruits. Nous devons tout faire pour que cela n’arrive plus jamais.

    Extrait du Message du PSD-BELIER au 6è Congrès du PCB.